La reine Esther, cauchemar des féministes

 

De nombreux biblistes regardent le personnage d’Esther avec suspicion, lui reprochant tantôt sa soumission aveugle, tantôt son égoïsme ou son penchant pour la manipulation. Certes, le livre qui porte son nom est rempli de silences et de zones d’ombre – l’auteur semble avoir pris un malin plaisir à les multiplier afin de brouiller les pistes.

Mais une chose est certaine : la reine Esther une femme de valeur, une femme de puissance. Et c’est un véritable cauchemar pour tous ceux qui pensent le contraire !

Prédication du dimanche 3 avril 2022 à l’Église réformée baptiste de St-Jérôme.

 

 

À noter : La distinction entre « stratégie » et « tactique » (ou « ruse ») que Guillaume développe dans la troisième partie de cette prédication (et à laquelle il n’adhère pas !) a été élaborée par le jésuite Michel de Certeau, notamment dans L’invention du quotidien.

 

Plan de cette prédication :

1. Esther : une femme de piété, de courage, et de bon sens
2. Esther : une fine tacticienne
3. Esther : une redoutable stratège

 

Questions de compréhension :

1. Qu’est-ce que Guillaume Bourin entend par « féministe », dans cette prédication ?
2. Comment le texte met-il en contraste la reine Esther et la reine Vashti ?
3. Quelle est la différence entre « tactique » et « stratégie », dans cette prédication ?
4. Quelle est la perspective que les lecteurs peuvent avoir d’Assuérus, dans ce passage ?

 

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